Les Rats
Ils avaient appris à vivre dans l'ombre, furtivement, à sortir surtout la nuit et à craindre les hommes. Et soudain ils commencèrent à réaliser leur force et à prendre goût a la chair humaine.
A leur dents tranchantes comme des rasoirs, a leur nombre venait s'ajouter une arme supplémentaire : l'horreur et le dégoût qu'inspirait leur multitude grouillante.
Bientôt on découvrit les restes ensanglantés des premières victimes...
Ce livre constitue le premier volet de la trilogie des rats.
Il raconte comment des rats, plus gros, plus intelligent et surtout plus agressifs que leurs congénère, ont semés la terreur et la mort dans des quartiers de Londres.
Dans ce livre on retrouve des petites histoires de vie de tous les jours comme Henry, alcoolique et au chômage à cause de son homosexualité ou Violet, mère au foyer se lassant de sa vie monotone. Ce qui nous fait rentrer un peu plus dans le roman, on se dit que ces scènes sont tout à fait normal, jusqu'au moment où les rats apparaissent et massacrent presque toutes ces personnes.
Dans la scènes où Henry meurt, on est presque aussi surpris que lui par l'attaque et, si on ne connaissait pas le titre explicite du livre, on mettrait autant de temps que lui à en découvrir l'origine.
Ce livre met en évidence, une fois de plus, l'irresponsabilité du gouvernement face a une telle menace et le jeu politique pour designer un responsable.
C'est agréable et facile à lire, une bonne histoire avec des passages bien rythmés, angoissants et quelques détails gore lors des attaques.
Note : 7/10
Moyenne des votes : 7/10 (1 vote)
Le repaire des rats
Dans le secret de leur repaire, à seulement quelques heures de Londres, les rats mutants s'étaient reproduits.
Les hommes n'avaient pas encore décelé leur présence.
Les jeunes rats ne tenaient plus en place, en proie à une faim qu'ils ne comprenaient ni ne pouvaient satisfaire.
Mais le monstrueux mutant qui les dominait, leur cerveau, leur ancêtre à tous, lui, savaient et se souvenaient. La bave coulait de sa gueule quand il se rappelait le goût de la chair humaine.
Ce second volet n'apporte pas grand chose par rapport au premier opus pas beaucoup, il garde la même structure et les mêmes mise en scènes.
Les seules innovations étant le coté gore est un peu plus poussé et les deux scènes plutôt "chaude" présente dans le roman.
Donc même critique que pour le premier, une bonne suite.
Note : 7/10
Moyenne des votes : 7/10 (1 vote)
L'empire des rats
L'apocalypse nucléaire. Londres rasée, anéantie.
Ses habitants carbonisés, irradiés, ensevelis sous les décombres.
Mais pour une poignée d'entre eux, réfugiés dans les abris ou les couloirs du métro, la survie est peut-être encore possible.
Ils ne se doutent pas que le pire reste à venir. Car, sous la surface de la ville, les rats les épient.
Les rats qui ont compris que l'homme, affaibli, sans défense, est désormais leur proie.
PPour ce dernier tome du cycle des rats, James Herbert a su trouver l'idée pour renouveler le mythe.
Il change le rapport de force entre les deux races, ce sont les rats qui sont désormais les plus fort et les plus nombreux, tout ça à cause de la bêtise humaine, ce qui nous amène une fois de plus une critique de notre société.
Même si l'horreur des bombes nucléaires vole un peu la vedette aux rats pour ce tome, on a droit à quelques bonnes attaques, les plus sanglantes de la série.
Note : 8/10
Moyenne des votes : 8/10 (1 vote)
.: gregore :.
Avis des visiteurs :
- La "Trilogie des rats" de James Herbert fait pour moi partie des "incontournables" et mérite d'être lue, incontestablement !
Note : -/10 (Rick9)
- La trilogie des Rats de James Herbert fait partie de mes livres préférés, chacun des ouvrages sont vraiment gore à souhait. Le meilleur des 3 reste sans doute L'empire des rats car en plus de faire face à d'énormes rats, les personnages du roman doivent survivre dans un Londres anéantit par une bombe atomique.
Note : -/10 (Patrick)